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  • : Le blog de Comite pour une Nouvelle Resistance- CNR
  • : L’association, s’inspirant des idéaux et des réalisations énoncés et établis par le Conseil National de la Résistance (C.N.R.) a pour but la mise en œuvre de réflexions, d’initiatives et d’actions visant à faire naître et vivre une « Nouvelle Résistance » favorisant la défense des conquêtes des mouvements sociaux de notre République.
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comité pour une nouvelle résistance C N R 06

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Lucie Aubrac résistante

St André des Alpes / 9 /07/11

Comité pour une Nouvelle Resistance- CNR / St André des Alpes / 9 / 07/ 11

 

Explication du maire , des raisons pour lesquelles  lui  et son équipe aient refusé le matin meme l'accès  à la salle alors que cette journée était prévue , organisée de longue date ...

Tout se termina bien  , Monsieur le maire et son équipe  ont fini par " capituler "  face à l'indignation de nos résistants d'hier...

16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 13:12
Les agences de presse signalent :

 

 "Des milliers de personnes ont manifesté mardi en France à l’appel de quatre syndicats pour dire qu’elles « n’abandonnent pas » la mobilisation contre la réforme des retraites à l’occasion du vote solennel à l’Assemblée nationale.


Plus de 150 rassemblements ont eu lieu à travers le pays mais les rangs étaient plus clairsemés que le 10 septembre, quand 370.000 personnes avaient manifesté, selon les organisateurs.
Thierry Le Paon, le secrétaire général de la CGT, a néanmoins promis de nouvelles mobilisations contre une réforme que les organisations jugent "injuste" et qui sera examinée par les sénateurs à compter du 28 octobre.

 
Les syndicats CGT, Force ouvrière, FSU et Solidaires espèrent peser sur le vote au Sénat, où le Parti socialiste ne détient qu’une majorité relative et dépendante du bon vouloir des sénateurs communistes, hostiles à la réforme."

Ce que les agences n'ajoutent pas :

C'est que c'est l'Assemblée nationale qui a le dernier mot et que la même majorité socialiste approuvera la contre-réforme gouvernementale mijotée avec les dirigeants de la CFDT.

 


Sur cette question comme sur toutes les autres questions (emploi, salaires, fermetures d'entreprises, délocalisations ...) l'essentiel ne se joue pas au Parlement où les jeux sont faits et les issues vérouillées mais dans notre capacité à développer les luttes TOUS ENSEMBLE pour inverser le rapport de force.

Ainsi que nous le soulignions dans notre tract pour accompagner la manifestation intersyndicale du 15 octobre :

 

  • "C’est d’ailleurs ce que de nombreuses bases syndicales dans la CGT en particulier ont compris comme l’a illustré le rassemblement de plusieurs centaines de travailleurs et Sans emploi du 7 octobre devant l’Assemblée à l’initiative de 5 Unions locales du Pas-de-Calais avec les UL du Havre, de Vendôme …"

ET


C’est pas à l’Elysée,


C’est pas dans les salons,

 

C’est pas à l’Assemblée … 

 


 

 

http://idata.over-blog.com/3/06/23/69/logo-FSC.jpg

 

 

___________________________________________________________________________________

 

 

 

Déclaration ci-dessous du syndicat CGT Cochin:

 

Les députés socialistes ont adopté le 15 octobre le projet de réforme des retraites : 270 voix pour (socialistes), 249 contre et 49 abstentions.


Ce projet est injuste et inéquitable


- Injuste car l’allongement de la durée de cotisation va pénaliser en particulier les jeunes et les femmes, et, en éloignant la perspective d’une retraite complète, viendra encore dégrader le montant des pensions.


- Inéquitable car il fait peser l’ensemble des efforts de financement sur les salariés et les retraités. Les salariés voient leurs cotisations augmenter, les retraités leur pouvoir d’achat baisser une nouvelle fois du fait d’un report supplémentaire de 6 mois de la revalorisation annuelle des pensions. Le patronat, par contre, a obtenu une compensation immédiate et intégrale de l’augmentation des cotisations.


Cette réforme va donc encore une fois répondre aux injonctions du MEDEF au détriment des revendications des salariés et retraités. Elle tourne le dos à la justice sociale.


Lors de la précédente réforme des retraites, en 2010, de nombreux parlementaires s’étaient mobilisés pour défendre le droit à la retraite à 60 ans et prouver qu’une autre réforme était possible.


La CGT veut :


- Rétablir l’âge d’ouverture des droits à 60 ans, avec une retraite d’au moins 75% du salaire d’activité pour la majorité des salariés et au moins égale au SMIC (que la CGT revendique à 1700 euros),


- Tenir compte de la pénibilité par des mesures d’anticipation d’âge avant 60 ans,


- Assurer l’égalité entre les femmes et les hommes,


- Assurer une retraite de haut niveau pour le plus grand nombre et en particulier les plus jeunes d’entre nous.


Deux mesures complémentaires permettraient de rétablir l’équilibre budgétaire à l’horizon 2020 :


- Revenir sur les 200 milliards d’euros d’aides publiques aux entreprises, notamment en supprimant les exonérations de cotisations sociales qui n’ont pas montré d’efficacité en matière d’incitation à l’emploi stable. Celles-ci s’élèvent aujourd’hui à près de 30 milliards d’euros par an,


- Atteindre l’égalité salariale entre les femmes et les hommes, ce qui permet d’augmenter les ressources du système de 10 milliards d’euros aux horizons 2020.


Avec cette nouvelle réforme, tous les travailleurs nés après 1972 verront leur durée de travail allongée de 3 ans.

 

 Pour les jeunes, la perspective de partir en retraite à un âge raisonnable s’éloigne d’année en année sous les coups de boutoir des politiques libérales poursuivies par les gouvernements successifs depuis près de 30 ans.


Il est vrai que ni les Hollande, ni les Sarkozy et encore moins les Marine Le Pen ne savent ce que signifient les fins de moins difficiles, et leur retraite est assurée depuis longtemps…


Avec la CGTCochin 

 


 


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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 09:17

Le budget de la nation en cours de discussion au Parlement, c’est :


http://www.sitecommunistes.org/ch321budget_fichiers/image002.jpg1) 15 milliards de ponction supplémentaire entièrement payée par le peuple.


* L’augmentation de la TVA en 2014, c’est 6,5 milliards d’euros. Le gouvernement refuse de baisser la TVA sur les produits de première nécessité de 5,5 à 5%.


* L’augmentation des cotisations retraites, les modifications du quotient familial représentent 4,2 milliards.


* 4,4 milliards d’économies sur la protection sociale : 2,9 milliards concernent les dépenses de santé, le reste c’est la poursuite des déremboursement des médicaments, la baisse des budgets attribués aux hôpitaux.


*Les restrictions budgétaires des collectivités locales conduisant à l’augmentation des impôts locaux et taxes foncières.


*des milliers d’emplois supprimés dans la fonction publique


* La poursuite du blocage des salaires des fonctionnaires (depuis 4 ans),



http://www.sitecommunistes.org/ch321budget_fichiers/image004.png2) 220 milliards de cadeaux aux entreprises pour augmenter leurs profits


Aux 200 milliards d’exonérations fiscales et sociales, d’aides publiques diverses octroyés aux entreprises chaque année, le gouvernement socialiste  ajoutera en  2014,  20 milliards de crédit d’impôt compétitivité (financé par la TVA).

 

La fraude fiscale est de 80 milliards chaque année. Le gouvernement compte en récupérer 2 milliards en 2014 !


Les cadeaux aux entreprises  accordés par un gouvernement, seront en 2014 d’un niveau sans précédent.

En 1990 les cotisations sociales (prélevées sur le SMIC) des entreprises étaient de 33%, en 2012 elles ne sont plus que de 4,63%.


Ils veulent aller plus loin :


Des discussions sont engagées actuellement entre le gouvernement et le MEDEF sur le « coût du travail ». Le MEDEF exige de nouvelles exonérations fiscales et sociales, d’arrêter le remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant en retraite, il veut supprimer les « contraintes à l’emploi » (autrement dit le code du travail).


Gattaz, le président du MEDEF déclare que si ces conditions sont réunies, il s’engage à créer un million d’emplois ! Le chantage à l’emploi se poursuit, Gattaz veut rencontrer Hollande pour lui exposer ses solutions, ne doutons pas qu’il va trouver une oreille attentive.


 

 http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/40/Il_quarto_stato_(Volpedo).jpg

 

Les luttes sont indispensables  pour mettre un terme à cette politique.

 

 

Source : site "Communistes"

 


 


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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 08:11

16 Octobre 2013 , Rédigé par Le Mantois et Partout ailleurs

 

http://resize.over-blog.com/170x170-ct.jpg?http://idata.over-blog.com/3/06/23/69/retraites_dessin.jpg

Par 270 députés pour contre 249, sur 568 votants. Evidemment, si l'on s'en tient aux seuls chiffres, la majorité n'est acquise qu'avec 21 petites voix. Mais de là à claironner que ce texte majeur antisocial de François II n'a obtenu qu'une majorité relative, il y a loin d'une opposition franche des représentants élus de la nation.


En effet, la droite et l'extrême-droite ont voté contre parce que le patronat français en voulait plus tout de suite.


49 députés se sont courageusement abstenus: les verts (sauf 1 contre) et les radicaux de gauche(sauf 1 contre). Mais comme l'a précisé le député Roger-Gérard Schwartzenberg, "l'expression d'un désaccord n'est pas un drame". C'est donc peu dire qu'écolos et radicaux de gauche ménagent la chèvre et le chou, because leurs ministres respectifs au gouvernement.


17 députés socialistes n'ont "pas voté pour", selon leur expression. Oui, comme leurs potes écolos et radicaux, ils se sont courageusement abstenus. Oui, toujours la chèvre et le chou avec des copains au gouvernement. Ironie de l'histoire, ils se sont abstenus de voter 30 ans après que le Ps à l'Elysée instaurait en 1983 la retraite à 60 ans.


En fait, seuls les députés Fg ont véritablement voté contre cette régression sociale.

 

Reste l'apostrophe de la rue qui ne cesse pas contre cette réforme antisociale. A Paris comme en province, CGT, FSU, Solidaires et FO se rassemblaient hier contre le gouvernement de François II qui décapite la retraite à 60 ans. Ce n'est qu'un début pour l'action.


Il faut aussi montrer au peuple en désarroi que la justice et le progrès social ne peuvent pas être obtenu au Parlement, mais dans la rue et les entreprises et en laissant la CFDT dans sa collusion acceptée avec le patronat et la social-démocratie. Le syndicalisme de progrès ne doit rassembler que ceux qui luttent et lutteront véritablement à la base, dans la rue et les entreprises.


Roger Colombier

 

*********


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Des manifestants craquent des fumigènes pour protester contre le projet de réforme du système de retraites, à Marseille, le 15 octobre 2013

 

**********

 

Paris 15 octobre 2013 


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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 08:05
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Mal logés de la République,  non à la répression !

Entre 12h45 et 13h, la police a évacué brutalement le camp des mal-logés place de la République, installé avec l’aide de l’association Droit au Logement (DAL).

Six mères de familles et quatre hommes ont été arrêtés, un père de famille interpellé est blessé (oreille décollée) et les effets personnels ont été confisqués (couvertures, sacs, bâches banderoles...).

Ces familles attendaient une réponse à l’issue de la table ronde qui s’est tenue hier soir, et une déclaration de manifestation avait pourtant été déposée, jusqu’au lundi 21 octobre, conformément à la réglementation.

La politique économique injuste du gouvernement, qui fait payer les classes populaires et moyennes au lieux de s’attaquer aux privilèges des plus riches, s’accompagne d’une radicalisation de sa politique sécuritaire : après les propos intolérables de Manuel Valls à l’encontre des roms, ce sont des familles précaires et mal-logées qui sont l’objet d’une répression brutale.

Attac s’associe au DAL pour condamner cette répression qui met en cause la liberté de manifester, et bafoue les droits des mal-logés et des sans-logis, exiger la libération immédiate des mal-logés interpellé, et des poursuites sur les violences commises, demander le relogement des 300 familles en lutte de la place de la République, la mobilisation de 50 000 logement et locaux vacants, pour les sans-logis et les DALOs d’Ile de France, une vrai loi pour les mal-logés, les sans-logis, et les locataires, afin que le droit au logement soit mis en œuvre.


Attac France,
Paris, le 15 octobre 2013

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 07:23
Mercredi 9 octobre 2013
Le noir désir du gouvernement : siphonner les économies des régimes sociaux autonome pour renflouer la Sécu.

La dernière trouvaille de Bercy pour réduire le déficit de la Sécu a fait autant de bruit dans le landernau social qu’une alarme hurlant chez un bijoutier de la place Vendôme.


Alerte ! les bas de laine constitués au fil des ans par quelques régimes ou caisses autonomes seraient raflés par le gouvernement !


Du jamais-vu ? En fait, Raffarin avait donné l’exemple dès 2003, en siphonnant les réserves de la Caisse de retraite des collectivités locales. Puis, en 2011, Fillon avait ponctionné les mutuelles au bénéfice de la Sécu.


Pour le début de 2014, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale prévoit de soulager la Caisse des industries électriques et gazières de 65 % de ses réserves, soit 170 millions.


Simultanément, la tirelire du Fonds d’emploi hospitalier, un organisme censé financer les restructurations dans les établissements publics (soit 233 millions), volera en éclats. Les petits cochons tremblent sur leurs étagères.

Caisses bien roulées

Ces 403 millions pourraient n’être qu’un début. D’où un vent de panique chez ceux qui ont eu la naïveté de ne pas planquer leurs économies.


Deux dispositions de la réforme des retraites, dont le Parlement entame l’examen, ont en effet alarmé les gestionnaires de ces bas de laine.


- La première est la création d’un « comité de surveillance » des retraites, dont les cinq membres, nommés par le gouvernement, bénéficieront pour la première fois d’un droit de regard sur les régimes complémentaires. Les dirigeants de l’Arrco (la fédération des régimes complémentaires des salariés non cadres) sont convaincus que la mission de ce comité sera de faire main basse sur au moins une partie de leurs réserves.


Celles-ci s’élèvent à plus de 40 milliards, soit environ un an de versements aux retraités.


Actuellement, cet énorme matelas, placé sur les marchés financiers, produit des intérêts qui permettent de ne pas trop augmenter les cotisations.


Si les régimes complémentaires étaient contraints de se séparer d’une partie de leur trésor ou, plus probablement, de consentir un prêt à taux zéro à la Sécu, il leur faudrait les augmenter, ou baisser les pensions.


Du coup, Hollande et Ayrault ont déjà reçu un très menaçant « touchez pas au grisbi » de la part de syndicats prêts à défourailler.

Tempête dans les cabinets

- La même alerte, maximale, a été déclenchée par les professions libérales. L’avant-dernier article de la réforme des retraites confie au gouvernement la tutelle des caisses de ces professions.


Un hasard ? Pas vraiment, vu que leurs réserves atteignent 21 milliards.


Devant le hold-up annoncé sur une partie de ce magot, les « libéraux » qui ont les moyens de se faire entendre agitent la menace d’une riposte exemplaire. Elle est prise d’autant plus au sérieux que les représentants de ces professions ne manifestent pas une grande tendresse pour la gauche. Manquerait plus que les notaires se laissent cravater sans rien dire. 


par Alain Guédé

 


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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 13:02

http://arrasmedia.keeo.com/mobilisation-universite-artois-81585.jpg

 

AG à Paris 3 : le jeudi 17 octobre à 12h (salle D03)


AG à Paris 5 : le jeudi 7 novembre (lieu à confirmer)


AG à Paris 7 : le vendredi 18 octobre à 12h15 (amphi A1)


AG à Paris 13 : mardi 15 octobre de 11h45 à 13h45 (amphi7)

 



Fusion universitaire et austérité budgétaire: agissons !



Réapproprions-nous l'Université.



Les exécutifs en ont décidé ainsi : nos universités « fusionneront » en 2016 – si nous les laissons faire ! 

 

 

Paris 3, Paris 5, Paris 7 et Paris 13 vont disparaître au sein d’une superstructure multidisciplinaire dans un contexte plombé par les difficultés financières. Sans concertation, décision brutale venue des instances dirigeantes du PRES, ce projet déjà bouclé se contentera d’être soumis en 2015 à l'approbation des CA de nos universités, devenus de vulgaires chambres d'enregistrement. Le personnel des différents établissements est, dans sa grande majorité, très inquiet voire tout à fait opposé à ces restructurations.


Et alors ? 


Et alors, on s’achemine tranquillement, envers et contre tout, vers une méga-université à la géographie absurde, regroupant plus de 100 000 étudiants. Elle serait plus grosse encore que les regroupements déjà réalisés en France qui, la preuve en est faite maintenant, génèrent un accroissement marqué des déficits, une aggravation du mille-feuille institutionnel, un éloignement des instances décisionnelles des personnels et des étudiants, des gels de postes, la suppression ou la réduction de certaines formations, des conditions de travail détériorées, un service public d’enseignement dégradé…


Les présidents poursuivent avec zèle les politiques imposées par les gouvernements successifs depuis 10 ans sans dénoncer l’asphyxie financière qui en résulte.


On nous avait dit et répété, jusqu’en septembre, quand on ne savait pas encore que la décision avait été engagée en haut lieu dès juillet : « fusion, fédération, confédération ? Rien n’est fait, on en discute, on en discutera, on consultera, on réfléchira, ne vous en faites pas. » C’était faux ! Tout était déjà écrit. Les pseudo-consultations organisées ici ou là ont été des mascarades; et celles qui ont été sincères n'ont pas été prises en compte.


Il convient aujourd’hui de rappeler l’université à des missions essentielles de service public, missions que seul le service public peut garantir; l’université doit pouvoir offrir un cadre satisfaisant pour l’enseignement et la recherche, sans que soient constamment mises à mal la démocratie et la collégialité. 

 

Nous devons maintenant reprendre le contrôle de nos universités. Nous devons nous réapproprier l'Université. L'intersyndicale SPC, composée de représentants des syndicats de personnels et d’étudiants CFDT, CGT, FO, FSU, SUD, UNEF, vous invitent à des assemblées générales dans chacune des universités concernées


 

Source :

http://idata.over-blog.com/3/06/23/69/logo-FSC.jpg

 


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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 08:17

Article AC pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/

 

En Espagne, comme ailleurs, l'hypocrisie du discours sur le « fardeau des sacrifices » à supporter équitablement vole en éclats : la politique d'austérité se révèle une politique de classe pour transférer les richesses des travailleurs vers le capital.

 

Deux études publiées cette semaine en Espagne révèlent les effets des politiques suivies depuis 2008 en Espagne au nom du sauvetage de l'Euro et de l'UE : austérité et appauvrissement pour la majorité des travailleurs, cadeaux et prospérité pour les entreprises et les riches.

 

D'un côté, l'organisme de charité religieux « Caritas » révèlent que l'Espagne compte désormais 3 millions de personnes vivant dans l'extrême pauvreté, c'est-à-dire avec moins de 300 € par mois. Leur nombre a doublé depuis le début de la crise, en 2008.

 

« Caritas » souligne qu'elle aide désormais 1,3 millions d'Espagnols, un nombre trois fois plus élevé qu'en 2009. La « Croix-Rouge », elle, déclare assister 2,4 millions de personnes. Elle a livré 1 millions de colis alimentaires en 2012, 350 000 produits d'hygiène et vêtements

 

La progression de la charité privée est en proportion inverse du désengagement de la solidarité publique. Depuis 2008, les gouvernements socialistes comme conservateurs ont réduit les allocations-chômage, maternité ou encore logement.

 

Cet extrême dénuement trouve une explication partielle dans les chiffres record du chômage : six millions d'Espagnols sont au chômage en septembre 2013, 26% de la population active, 56% des moins de 25 ans.

 

Une situation dont les travailleurs ne sont plus exclus. Le développement massif de la précarité, lot obligé de la jeunesse espagnole, conduit à l'explosion des travailleurs pauvres. Selon Caritas, le taux de pauvreté en Espagne est désormais de 21%, soit 12 millions de personnes.

 

Il cache aussi une misère plus ordinaire : 40% des Espagnols ne peuvent faire face à des dépenses imprévues, 15% n'arrivent plus à boucler les fins de mois tandis qu'un ménage sur huit est en « précarité énergétique », dans l'incapacité de payer ses factures d'énergie.

 

Les expulsions de logement ont également explosé depuis le début de la crise, 250 000 depuis 2008 avec un nouveau triste record de 75 000 expulsions en 2008.

 

De l'autre côté, le « Crédit Suisse » a publié son rapport sur l'évolution des grandes fortunes mondiales. L'Espagne se porte bien : dixième pays au monde pour son nombre de grandes fortunes.

 

L'Espagne compte en effet 402 000 millionnaires, soit 13% de plus qu'en 2012, 45 000 nouveaux élus. Depuis 2007, leur chiffre a connu une progression spectaculaire, ils étaient alors près de 170 000.

 

Selon la banque suisse, cette irrésistible ascension devrait se poursuivre. D'ici 2017, leur chiffre devrait atteindre les 600 000, doublant depuis 2011.

 

Conséquences des plans d'austérité cyniques adoptés depuis 2008, d'abord par le gouvernement socialiste de Zapatero

 

Ces chiffres déchirent le voile du cynisme de la classe dominante espagnole et européenne, et de ceux qui la servent – partis de droite comme le PP (Parti populaire) ou supposés de gauche comme le PSOE.

 

Car le premier responsable de cette explosion des inégalités, c'est le gouvernement socialiste de José Luis Zapatero qui a appliqué dès 2008 un « plan de relance » (le plan E) destiné aux grandes entreprises et aux plus riches.

 

Cette année-là, l'Etat accordait plusieurs milliards d'euros d'aides publiques aux entreprises des secteurs en crise (immobilier, automobile, tourisme, banques), baissait l'Impôt sur les Sociétés de 2,5 points tout en supprimant l'Impôt sur les grandes fortunes.

 

Dans le même temps, en particulier avec le plan d'austérité de 2010, il baissait les salaires des fonctionnaires de 5 %, déremboursait une série de médicaments, réduisait ou supprimait les allocations sociales, tandis qu'il augmentait de deux points la TVA.

 

La « réforme du marché du travail », entamée sous Zapatero a, elle, trouvé une continuité dans le dernier plan d'austérité du gouvernement de droite de Mariano Rajoy. La dernière réforme assouplit encore les conditions d'emploi et de licenciement, dans les intérêts exclusifs de l'employeur.

 

Le Premier ministre espagnol s'est même félicité récemment (mais au Japon) que la « flexibilisation de la main d'oeuvre » entreprise sous son mandat ait conduit à la baisse des salaires réels dans le secteur privé, une baisse confirmée par une étude de la « Banque d'Espagne ».

 

La colère monte en Espagne contre la politique menée par les deux partis du consensus dominant, par la politique d' « austérité » à sens unique, les concessions faites à la « Troika » (UE, BCE, FMI) pour mieux défendre les intérêts de la classe dominante espagnole.

 

 


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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 20:22

 

Poursuivons le combat de Croizat

 

http://www.initiative-communiste.fr/wp-content/uploads/2013/10/Place_Ambroise-Croizat_Paris_14.jpg“Ma présence au ministere du Travail ne m’a jamais fait oublier mon origine et mon appartenance à la CGT. Je ne mériterais pas votre confiance si, par malheur, je m’étais laissé aller, au cours de mon activité gouvernementale,à oublier vos souffrances, vos difficultés. En un mot, à sacrifier purement et simplement vos intérêts. Ces derniers se confondent trop avec ceux de la Nation pour qu’un ministre communiste puisse les oublier. C’est pour avoir observé cette fidélité envers vous-mêmes, cette solidarité pour vos justes et raisonnables revendications, que je fus atteint, ainsi que mes amis, d’une sanction grave : celle de la révocation pure et simple. Nous étions devenus des êtres gênants, des “empêcheurs de danser en rond”, des hommes qui, trop souvent, affichaient des “intérêts sordides”. Ils sont maintenant entre eux et pourront régler avec plus de tranquillité certains problèmes, dont quelques-uns ne sont pas sans dangers pour l’avenir de la France. Comme je le rappelais il y a quelques jours, la lutte continue pour la renaissance française, l’indépendance nationale et l’instauration d’un bien-être pour tous. Il n’y a rien de changé »


 Ambroise Croizat 6 mai 1947



 Le 6 mai 1947 lendemain de l’éjection des ministres communistes du gouvernement, A Croizat rappelait fort justement que les intérêts de la Nation sont avant tout ceux de la classe des travailleurs.

 


Cet appel de Croizat demeure d’une brulante actualité. Il rappelle également que le premier devoir des communistes est d’être les meneurs du combat de la  défense des intérêts des travailleurs, dans la lutte des classes implacable que mène l’oligarchie capitaliste. La lutte des classes plutôt que la lutte des places : et cela aucun communiste ne peut l’oublier.


 

Pour continuer la « lutte pour la renaissance française, l’indépendance nationale et l’instauration d’un bien-être pour tous », 



Pour riposter à l’entreprise de liquidation des conquêtes sociales et de la France républicaine, en prenant appui sur les résistances sociales, civiques et patriotiques, pour une République sociale, souveraine et fraternelle, ensemble défendons et actualisons le programme du Conseil national de la Résistance !



Signature de l'appel



Merci à M Etievent pour cette citation.

 

 



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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 15:51

 

C'est avec plaisir que nous relayons l'initiative des milieux universitaires en défense des missions de service public du grand établissement livré aux lois du marché


http://idata.over-blog.com/3/06/23/69/logo-FSC.jpg

 

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http://lucdall.free.fr/blog/wp-content/docs/rio.jpg

 

On peut signer la pétition et on peut aussi y lire des témoignages de lecteurs, des réflexions sur la numérisation et l'accès aux collections à l'adresse suivante :

 

Sur http://www.sauvons-bnf.fr/ 


 

La dérive de la « Très Grande Bibliothèque »

 

Voulue à l’origine comme une grande bibliothèque encyclopédique dont les deux niveaux complémentaires permettraient un accès dynamique et démocratique aux collections, la Bibliothèque nationale de France s’écarte peu à peu de ses missions de service public, appliquant avec zèle la politique de récession sociale suicidaire imposée par le Ministère de la Culture : cela se traduit par un abaissement constant des services rendus aux usagers, une absence de politique documentaire et de choix scientifiques cohérents, une dégradation des conditions de travail des personnels et les lecteurs, les partenariats public-privé desservant l’intérêt général et aliénant les collections patrimoniales à des intérêts mercantiles.

 

Nos missions ne sont pas des marchés

 

Ainsi les coupes franches régulières et programmées dans les collections en libre accès, l’expropriation de dizaines de milliers de livres via la filiale « BnF Partenariats » accordant sans contrepartie des droits d’exclusivité sur des fichiers issus de la numérisation du domaine public, ou encore l’installation d’un multiplexe « MK2 » dans les locaux de la BnF quand l’établissement public manque de place pour faire face à l’accroissement et la conservation des documents.


 

Maintenant, sauvons la BnF


 

Dans un contexte de récession sociale sans précédent et quand la culture et l’éducation demeurent les premières lignes de front contre la barbarie, la poursuite d’une telle dérive aurait des conséquences dramatiques. Votre soutien est important : exprimez-vous et signez la pétition pour :

 

•    Affirmer que la BnF et son patrimoine sont le bien inaliénable de la nation et non celui d’une poignée de marchands,

 

•    Mettre un terme aux contre-réformes en cours visant à faire du Haut-de-jardin un espace mercantile ou le livre sera bientôt appelé à disparaître,

 

•    Dénoncer la concession offerte à « MK2 » dans l’emprise du bâtiment de Tolbiac et exiger le démantèlement de « BnF Partenariats »,

 

•    Rétablir le projet initial ambitieux et généreux de grande bibliothèque encyclopédique et démocratique.

 

 

Cette pétition sera remise à Madame Aurélie Filippetti, Ministre de la Culture.

 

 

_______________________________________________

Préparation de la coordination nationale
https://

 

 

 

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 14:54

 14 octobre 2013 


Le GMT (Grand Marché Transatlantique) est discuté en ce moment pour le plus grand bonheur des multinationales. Tout cela se fait à l’abri de la consultation populaire. Pour la France, le gouvernement actuel, en la personne de madame Nicole Bricq, a signé la délégation de pouvoir à l’Union Européenne pour nous représenter dans les négociations. Rien ne transparaît de ces ignominies. Bien sûr le texte initial est dans la langue du maître, afin que nous ne puissions pas réagir, c’est-à-dire l’américain ! Mais au cas où fuiteraient quelques dispositions par trop inquiétantes, le texte de l’accord n’a pas été donné initialement, même en américain ! Depuis quelques jours nous disposons de ce document, vous pouvez le trouver sur le site de Raoul-Marc Jennar ou sur le site « Contre la cour ».

 

L’unique représentant de L’Union Européenne (cette noble institution, démocratique à souhait, est seulement là pour assurer la pérennité de la domination des multinationales, et cela en augmentant sans cesse leur domination sur le monde), est Karel de Gucht, le Commissaire européen au Commerce. Il est certain que cette personne totalement inconnue du grand public, qui de plus n’est pas élue, est sous la domination de la politique ultralibérale qui sévit en Europe aujourd’hui.  Va-t-il s’empresser de défendre les intérêts des peuples d’Europe face aux puissants groupes de pressions des transnationales qui dictent les directives européennes ? Se poser la question est déjà y répondre. 

 

Mais enfin, nous avons de quoi être totalement sereins, nous n’avons rien à craindre de cet accord puisque « Big Brother » décide pour nous. 


Cependant une petite voix me dit qu’il faudrait se souvenir de cet AMI qui nous voulait tant de bien. C’est l’Accord Multilatéral sur l’Investissement qui a été discuté et signé en 1997 et 1998, mais qui n’a pas été ratifié par le parlement français, et qui de ce fait est devenu caduque. A cette époque une vaste campagne de sensibilisation, appelée depuis « L’effet Dracula », avait permis de réduire à néant les projets des bienfaiteurs de l’humanité. Mais comme vous le savez peut-être, ce qui est rejeté par le peuple est réintroduit de façon sournoise le lendemain par la fenêtre., c’est cela que l’on appelle la démocratie ! Le plus bel exemple de ce comportement qui caractérise les institutions européennes est la fameuse « Directive Bolkestein ». Elle a été rejetée et honnie par les peuples, cela ne l’a pas empêchée  de revenir dans un silence assourdissant sous la forme de « La Directive Service ». Regardez cette directive, qui est peu à peu retranscrite dans notre droit national, elle est fidèle en tous points à sa grande sœur !

 

Que faut-il attendre du GMT ? Rien de bon évidemment. Pour vous permettre d’imaginer le pouvoir de nuisance de ses commanditaires, je vous propose un exemple concret, la situation au Cambodge. Le message ci-dessous m’a été transmis par mon ami Guy Martin, auteur du chapeau précédent l’article.  

 

Une précision à propos du Cambodge, lors du colloque organisé à la mi-septembre 2013 à Nice pour la défense de la langue française par l’association « Comité pour une Nouvelle Résistance-CNR », le conférencier Charles Xavier Durand avait évoqué l’éradiquation de la culture française et donc de la langue dans les pays du Sud Est asiatique, en particulier au Cambodge et au VIETNAM, où partout l’américain est devenu hégémonique. Au Vietnam pour  bénéficier des prêts de la Banque Mondiale, il fallait absolument éradiquer la culture française, les livres en français ont donc tous été éliminés dans les écoles et les bibliothèques ! Au Cambodge, selon les travaux de l’universitaire suisse Danièle Ganser, le massacre de l’élite francophone par les Khmers Rouges a permis ce remplacement culturel et linguistique. Il est loin où tous les cambodgiens comprenaient et apprenaient le français ! Le fameux discours de Phnom Penh du général de Gaulle en 1966 ne serait plus compris aujourd’hui ! C’est aussi cela la colonisation des multinationales ! L’hégémonie linguistique induit une hégémonie culturelle au service exclusif des intérêts privés.

 

Lucien Pons


 

Les multinationales se sucrent, les populations trinquent


Comment se fabrique la misère, comment prospère le terrorisme ? Grâce à nos gouvernements au service du capitalisme le plus inhumain qui soit : traders qui spéculent sur la vie (la nourriture, les destructions d’emplois, le moins-disant social…), etc.


Et comment endiguer cette misère, ce terrorisme ? Sûrement pas à coup de missiles, sûrement pas avec plus d’humiliations des peuples déplacés par cette dévastation de leurs économies au profit de nos plus riches. Ce ne sont donc sûrement pas les Etats Unis d'Amérique ou l’Union européenne d’une part, ou des partis nazis du type Front National d’autre part, qui inventeront des solutions à cet effroyable naufrage de l’Humanité.  

 

 

Guy Martin


 

La situation au Cambodge.

 

http://www.diakonia.se/images/News_photos/Bittersweet-harvest-front.jpg

 

Le 18 septembre 2013    


Douze mille personnes spoliées, deux villages détruits, onze mille hectares de champs et vergers saisis : au Cambodge, les compagnies sucrières dépossèdent des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants de leurs terres. Cette attitude prédatrice est encouragée par la politique commerciale de l’Union européenne, qui absorbe 97 % des exportations cambodgiennes de sucre. Demandons à Karel de Gucht, Commissaire européen au commerce, de faire cesser ce scandale !

 

 

 

 

Les faits.


L’initiative européenne Tout Sauf les Armes part d’une bonne intention : accorder aux pays les plus pauvres un accès au marché européen libre de toutes taxes douanières ou de quotas. Mais dans certains cas, elle a des effets dramatiques pour les populations locales. Ainsi, au Cambodge, les avantages consentis par l’UE aiguisent l’appétit d’entreprises sucrières qui expulsent des milliers de paysannes et paysans de leurs terres et vont jusqu’à détruire des villages pour produire davantage.


Pour l’agro-business : les terres.


Dans les provinces cambodgiennes de Koh Kong, Kampong Speu et Oddar Meanchey, 75 000 hectares de terres ont été accordés aux industriels ces dernières années pour la production de sucre. Douze mille personnes ont perdu leurs moyens de subsistance. Deux villages ont été entièrement détruits et plus de 11 500 hectares de champs de riz et de vergers (appartenant à plus de 2 000 familles) ont été saisis pour être transformés en plantations de sucre.


Pour la population : la répression.


« Ils ont tout brûlé…y compris le riz. Ils ne nous ont même pas laissé le récolter d’abord » raconte Yem Ry, témoin des exactions qui se sont produites dans la province d’Oddar Meanchey. Arrestations arbitraires, menaces, violences… Forces de l’ordre et hommes de main des entreprises n’hésitent pas à user de violence face aux communautés locales qui tentent de défendre leurs terres. « Ils nous menacent avec leurs armes, nous empêchant d’aller là où les tracteurs démolissent nos terres. J’ai essayé d’y aller, ils ont tiré » témoigne Pet Nim, de la province de Koh Kong. Ayant tout perdu, certaines familles se retrouvent – ironie du sort – obligées de travailler dans les plantations de sucre pour survivre.


L’Union européenne doit réagir.


Si le gouvernement du Cambodge accorde autant de terres aux investisseurs privés et si les industriels du sucre se ruent vers les terres cambodgiennes, c’est en grande partie en raison des avantages commerciaux liés à l’initiative Tout Sauf les Armes, pourtant censée soutenir les pays les plus pauvres.

L’Union européenne a pourtant les moyens de lutter contre ce désastre en suspendant les avantages consentis aux produits agricoles du Cambodge tant que dureront ces violations. Mais malgré les appels de nombreuses organisations de la société civile en ce sens, malgré la résolution d’urgence du Parlement européen, malgré les preuves des violations, malgré les témoignages accablants… la Commission européenne ne réagit pas.


La Commission européenne n’agira pas sans une pression citoyenne massive : écrivez à Karel de Gucht, Commissaire européen au commerce, pour lui demander de faire cesser ce scandale.

 

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Prenez encore quelques secondes pour soutenir les Cambodgiennes et Cambodgiens qui défendent leurs terres, envoyez ce lien à vos contacts (ou partagez-le sur Facebook) :

http://appels-urgents.peuples-solidaires.org/appel-urgent/cambodge-compagnie-sucriere?constituent=0&?canal=merci&utm_source=merci&utm_campaign=AU364


Merci encore de votre soutien.


Solidairement,


Toute l'équipe de Peuples Solidaires


www.peuples-solidaires.org


Siège social : 2B rue Jules ferry 93100 Montreuil

Gestion des dons : 10 quai de Richemont 35000 Rennes - 02 99 30 60 53

 

 



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