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  • : Le blog de Comite pour une Nouvelle Resistance- CNR
  • : L’association, s’inspirant des idéaux et des réalisations énoncés et établis par le Conseil National de la Résistance (C.N.R.) a pour but la mise en œuvre de réflexions, d’initiatives et d’actions visant à faire naître et vivre une « Nouvelle Résistance » favorisant la défense des conquêtes des mouvements sociaux de notre République.
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comité pour une nouvelle résistance C N R 06

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Lucie Aubrac résistante

St André des Alpes / 9 /07/11

Comité pour une Nouvelle Resistance- CNR / St André des Alpes / 9 / 07/ 11

 

Explication du maire , des raisons pour lesquelles  lui  et son équipe aient refusé le matin meme l'accès  à la salle alors que cette journée était prévue , organisée de longue date ...

Tout se termina bien  , Monsieur le maire et son équipe  ont fini par " capituler "  face à l'indignation de nos résistants d'hier...

28 juin 2014 6 28 /06 /juin /2014 11:30
Détournement du spot publicitaire anti-grévistes produit par la direction de la SNCF
Alors que le texte de la réforme ferroviaire a été adopté mardi 24 juin dernier à l'Assemblée Nationale, la direction de la SNCF estime de bon ton d'utiliser l'argent de l'entreprise publique pour répandre de la provocation et du mépris.


Un spot publicitaire diffusé à la télévision depuis deux jours — et notamment pendant la mi-temps des matchs de la coupe du monde —  présente, sur un ton surjoué, les « regrets » de la SNCF face au « moments pénibles » vécus par les usagers lors des mouvements de grève. La direction assure avoir « tout mis en œuvre » pour soulager des voyageurs quasi-martyrs, à qui l'on distribue des bouteilles d'eau, dans une mise en scène digne d'une opération de secours humanitaire.


Il s'agit là d'une insupportable hypocrisie.

En rejetant la responsabilité des perturbations sur les cheminots, qui n'ont fait qu'exercer le droit de grève que leur garantit la Constitution, la direction de la SNCF cherche à se donner bonne conscience.

Le conflit n'aurait-il pas été évitable si elle avait accepté d'écouter les revendications et les propositions portées par la CGT ?

Pire encore, ce spot publicitaire cherche une fois de plus, comme l'a cyniquement fait le gouvernement ces derniers jours, à monter les Français les uns contre les autres.

Faussement compatissante, la direction de la SNCF en est réduite à pointer du doigts ses propres salariés !

Ce sont pourtant ceux-là même qui contribuent chaque jour à faire vivre l'entreprise, à assurer le transport de millions de personnes au quotidien, à assurer leur sécurité, et qui se battent pour l'emploi, pour le bon emploi de l'argent public, contre le démantèlement et la mise en concurrence de leur groupe, dans l'intérêt de tous les Français


 

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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 09:57

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Envoyé par Alain Rondeau :

 

Chers amis, chers camarades,

Nous sommes réunis sur cette place, à quelques pas de l’Assemblée Nationale, où les députés, représentants du Peuple, s’apprêtent à voter une loi mettant fin à la Société Nationale de Chemins de Fer Français.

 

Nous sommes en grève depuis 14 jours pour dénoncer la mascarade de la réunification du système ferroviaire qui va aboutir, après les débats de quelques députés (33 sur 577) pendant 3 nuits, à l’éclatement de la SNCF pour mettre en place une organisation conforme à la future ouverture à la concurrence de l’activité ferroviaire, c'est-à-dire à la privatisation partielle du secteur. Nos concitoyens n’en ont pas été informés.

 

Notre grève aura au moins servi à cela : Que les enjeux véritables soient dévoilés ! Malgré un déchainement médiatique au service du pouvoir, nous avons commencé à percer le mur de la désinformation. Ce travail n’en est qu’à son début et il faut que chacun d’entre nous le poursuive, quelque soit le vote des députés de ce jour et dont nous devons malheureusement envisager qu’il soit néfaste pour la population et pour les intérêts de notre pays.

 

Notre juste combat n’est pas fini et notre rassemblement d’aujourd’hui doit être considéré comme une étape, non comme un baroud d’honneur ! D’autres rendez vous nous attendent. Au Sénat, même en été, ou lors de la concrétisation de la mise en œuvre de la réforme qui va probablement être votée.

 

 

Mais nos députés, sensés nous représenter, doivent savoir que nous ne sommes pas d’accord, que nous portons, dans une plateforme unitaire CGT/UNSA/SUD, des propositions alternatives répondant à l’intérêt général, aux besoins des usagers et de la population en général en matière d’aménagement du territoire mais surtout nous sommes porteurs du moyen de la maitrise publique, collective au travers de l’outil qu’est la SNCF.
 

 

 

Dans ce combat, la stratégie des amendements était vouée à l’échec dès le début. Ceux adoptés, sensés rassurer les cheminots sur leur avenir professionnel, ne pouvaient être de nature à répondre aux aspirations des cheminots grévistes, qui depuis le début mettent en avant la promotion du service public.

 

 

Nous n’avons pas fait grève pour défendre un statut nous protégeant (qui n’est d’ailleurs pas si protecteur que cela), nous avons fait grève pour défendre le principe d’une entreprise publique, unique, intégrant les infrastructures et les fonctions de transporteur, assurant le monopole public du transport ferroviaire au service de tous.

 

 

Mais cela ne correspond pas aux exigences de la Commission et du parlement européen. Pourtant, le peuple français a dit non en 2005 et l’abstention massive lors des dernières élections semble démontrer qu’il n’a pas changé d’avis.

 

L’ironie du sort est que la majorité gouvernementale qui va mettre fin à la SNCF historique est de la même couleur que celle qui l’avait créé en 1937, à l’issue du Front populaire. Mais, cela ne change rien sur le fond.


 

Notre cause est juste et ce n’est pas fini. Soyons en persuadés."

 

J.C.


source : FACEBOOK

 


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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 07:25

Ce 26 juin 2014, 11 ans jour pour jour après l’agrément le 26 juin 2003 du protocole Unedic sur l’assurance-chômage des intermittents du spectacle, le gouvernement ose agréer la convention pourrie qui résulte de l’accord du 22 mars. Ce n’est le moment ni de baisser les bras, ni de perdre son cerveau. D’autres avant eux ont dû en rabattre sur leur arrogance et renoncer à leurs projets face aux mobilisations sociales : abrogation de la convention Unedic !

La direction de l’Unedic, 2 rue traversière, métro Gare de Lyon est occupée, besoin de renforts sur place.

Pour tous : prévenez les collègues chômeurs, précaires et intermittents par sms de ce rdv urgent, merci.

20h10 4 personnes qui étaient retenues par la police au prétexte qu’elles n’avaient pas de CNI ont fini par être relâchées.

19h26 les occupants sortent au compte goutte.

19h26, Et voilà BFM télé qui arrive...

19h20 Il y aurait une plainte de déposée, supposément une plainte de l’Unedic. Les premiers sortants font l’objet d’un contrôle d’identité malgré l’« accord » passé … Le dicton populaire ne dit pas pour rien : « parole de flic ».

19h15 Les policiers chargent à l’intérieur. Puis une négo commence avec eux. Les manifestants vont devoir sortir par paquets de 8. Engagement est pris qu’il n’y ait pas de contrôle d’identité.


Nous avons occupé le siège de l’Unédic IDF de 16h30 à 19h30 avant d’être évacués par la police.

 

Communiqué des occupant.e.s du siège de l’Unédic


Nous étions ici 106 intermittents, précaires, chômeurs, intérimaires, cheminots et enseignants, contre l’accord Unédic qui a été agréé hier par MM. Valls et Rebsamen, et publié ce matin au Journal Officiel.


Il est ironique de constater que cette publication intervient le jour anniversaire de l’accord de 2003. C’est une provocation insultante de la part du gouvernement.

 

Nous rappelons que cet agrément est applicable au 1er juillet.

 

Depuis l’annonce de M. Valls d’agréer cette convention, nous ne sommes pas dupes et constatons que l’État cherche surtout à éviter les annulations de festivals et à diviser le mouvement en déclarant son amour de l’art et de la culture, et à séparer nos revendications. Nous n’accepterons pas cette proposition de paix séparée.

 

Intermittents de l’emploi, intermittents du chômage, intermittents de la politique, nous sommes tous intermittents. Cette convention nous concerne tous car elle concerne l’ensemble des chômeurs. Ne nous laissons pas enfumer par la bêtise structurelle des médias de masse. La grève peut prendre 1000 formes : occupations, blocages, auto-réduction, sabotages. Les chômeurs et précaires sont en mesure de s’attaquer partout à la société-entreprise, à la politique du capital qui a pour nom « économie ».

 

Par cette occupation du siège de la direction Unédic-IDF, nous demandons instamment à MM. Valls et Rebsamen d’abroger cette convention.

 

Nous exigeons également qu’on nous mette à disposition les grands livres 2013 de l’Unédic (analytique et global), afin d’analyser et de mieux comprendre ces chiffres opaques.

 

Lorsqu’ils étaient dans l’opposition, les socialistes refusaient les réformes proposées.

 

Nous leur conseillons donc de bien dormir cette nuit, puisque le sommeil juste répare la raison.

19h08 Les occupants rédigent un communiqué

 
C’est la même chef flic que lors de l’occupation du Carreau du Temple qui gère le dispositif...

18h38 à l’intérieur échanges avec le directeur financier, lui avons demandé les livres analytiques, il reconnait n’avoir lu la convention qu’en diagonale.

 
Les gendarmes sont arrivés au 2e étage où se trouve la salle de réunion de l’Unedic.


18h36 Toujours aucun média sur place alors qu’ils ont reçu un communiqué annonçant l’occupation...

18h31 Des CRS montent l’escalier arrière, cela ressemble à des préparatifs d’évacuation musclée...

17h45 A l’extérieur, les CRS semblent désormais aussi nombreux que les manifestants autour du pâté de maison.

17h38 Les deux manifestants retenus ont été libérés.

17h30 Près de 300 personnes manifestent à l’extérieur de l’immeuble occupé et cerné par la police.

17h28 Les policiers chargent les manifestants regroupés devant les locaux de l’Unedic, les gazant à plusieurs reprises.

17h22 Les policiers cherchent à interpeller parmi les nombreux manifestants qui sont restés dehors : deux personnes ont été arrêtées, une troisème a été copieusement tabassée à coups de tonfa et gazée par plusieurs policiers n’écoutant que leur courage.


17h21, le Conseil d’administration de l’Unedic consacrée à la convention agréée ce jour a été interrompu. Des camarades de la CGT intérim sont également présents.

Des CRS ont investi le hall du rdc et cernent le bâtiment de tous côtés.


17h Début d’AG dans les Bureaux de M. Destival, directeur de l’Unedic.


Une partie des manifestants a été gazée par des vigiles. Le cortège est donc scindé en deux, une grosse centaine d’occupants à l’intérieur et bien plus de monde dehors.

16h39 Le hall de l’Unedic est envahi par une horde de précaires. Il y’a tellement de monde ici qu’on se croirait à la CAF.

16h36 Une partie des manifestants a quitté la manif’ pour partir en action. Ils occupent une des directions de l’Unedic, au 2 rue traversière, métro Gare de Lyon.

Manifestation : contre l’austérité, droit au chômage !

NOUS VOULONS DE NOUVEAUX DROITS POUR INTERMITTER L’EMPLOI

Rdv à 13h30 intermittents, précaires, chômeurs, …, agissons contre la convention d’assurance-chômage anti-chômeurs, intérimaires, intermittents et autres précaires, retrouvons nous devant Le Cirque D’hiver, 110 rue Amelot, avant de rejoindre le cortège à Bastille

14h30 Manifestation de Bastille à Nationà l’appel de la CGT et d’autres organisations pour les salaires, l’emploi, les services publics.

Intervention d’une intermittente qui cherchait à prendre la parole en direct sur Canal + pendant la Nouvelle Edition, Ali Badou refuse de la laisser parler et rend l’antenne. Elle est évacuée par les services de sécurité, et à la sortie son badge Canal +, chaîne pour laquelle elle a longtemps travaillé, lui est arraché des mains.


RDV à 10h30 au 39 rue Bouret, 19ème, métro Jaurès. Attention, une fois devant le porche, appeler le 06 8630 0238 pour accéder à l’immeuble. Besoin de monde pour la préparation du rassemblement de 13h30 : confection de banderoles, venir chercher des « Interluttants » et des tracts pour distribution, besoin d’une voiture pour aller récupérer une sono, besoin de cartons pour collage slogans. Et besoin de toutes vos idées !


18h l’équipe gréviste du festival des TJCC de Gennevilliers se réunira devant le Centre Georges Pompidou pour pousser un grand cri collectif. A celles et ceux qui veulent se joindre à eux.

Valence

Ce soir une quarantaine d’intermittents et précaires bloque le pont Mistral entre Valence et Guilherand-Granges.

Toulouse

18h RV Place du Capitole pour une riposte immédiate à l’agrément paru ce jour. Faîtes passer l’info !


Une croix humaine est formée Place du Capitole à l’endroit où doit se tenir le Festival Le Marathon des Mots.

Montpellier

Printemps des comédiens et Montpellier Danse en grève. Tous les spectacles du jour sont annulés.

Communiqué du Mouvement Unitaire contre l’accord du 22 mars


Le 26 juin. Encore une fois.


Le gouvernement se permet en ce moment grave une provocation supplémentaire. Agréer le 26 juin 2014, commémorant sans honte le 26 juin 2003. Entériner le saccage de l’assurance chômage , oubliant de protéger les plus pauvres, toujours, c’est une constante. Pillant les chômeurs, les précaires, les travailleurs, les stigmatisant plutôt que protégeant leurs droits. Ils n’ont pas gagné, non, ils n’ont pas gagné !

 

Cet agrément aujourd’hui et la proposition de concertation sociale présentée ces derniers jours ne nous feront pas taire. Cette porte étroite, nous allons l’enfoncer. C’est l’opportunité historique de faire de l’assurance chômage une grande cause nationale.

 

Nous y mettrons notre énergie . Nos propositions doivent être étudiées. Nos experts doivent être entendus. Nos organisations professionnelles et syndicales patronales et salariales doivent avoir enfin la place qui leur est due. Nous mettrons notre énergie à continuer par tous les moyens qui sont à notre disposition à dénoncer auprès du plus grand nombre le désastre. Choisir de signer au bas de la page avec le MEDEF, c’est abandonner la solidarité. C’est mépriser la démocratie sociale. C’est donner le champ libre à la dérive libérale et capitaliste. Nous ne voulons pas de cela. Nous n’avons eu de cesse de le hurler depuis des mois et nous avons encore, encore, encore du souffle. Nous sommes debout. Nous avançons. Plus que jamais, ce que nous défendons, nous le défendons pour tous.

 

Jeudi 26 juin 2014. Mouvement Unitaire Languedoc/Roussillon contre l’accord du 22 mars.


Dijon

Action banderole en cours sur le Palais des Ducs de Bourgogne. La visibilité de sa traîtrise en son duché, y a rien de pire pour Rebs-a-menti.

Rassemblement devant la Mairie de Dijon, fief de François Rebsamen.

Caen

Rassemblement et local du Medef redécoré.

Nîmes

Une coordination des Intermittents et Précaires du Gard est actuellement à la permanence de la députée Françoise Dumas pour s’entretenir avec Sébastien Gros, chef de cabinet de Manuel Valls.

Rennes

19h AG à la Parcheminerie. Venez tou.te.s - préparons la riposte à l’agrément !

12h Rendez vous « Interluttes contre l’autérité » devant la Préfecture de Rennes.

La lutte des Immobiles, inspirée du chorégraphe turc Erdem Gündünz lors de la répression policière à Istambul, a repris ce matin place du Parlement.

Marseille

15 000 manifestants contre l’austérité ce matin sur le Vieux Port.

Toute l’équipe technique et de nombreux acteurs de Plus belle la vie s’étaient mis en grève pour se rendre à la manif.

Plus tard, on brûle les cercueils des droits sociaux et de la culture devant le Medef 13.

Bordeaux


19h devant le Grand Théâtre pour soutenir la grève.

Hier 184 salariés de l’Opéra ont voté, en majorité écrasante pour la grève. C’est historique ! Mais la direction cherche à empêcher la grève et à les intimider. Elle veut imposer les représentations malgré tout. Allons soutenir les salariés en lutte, et faire respecter le droit de grève !

L’Opéra de Bordeaux, en grève, prépare un concert gratuit Place de la Victoire.

Ailleurs, dans les rues, on enterre les droits sociaux.

Lorient

A partir de 10h bd Cosmao du manoir pour une manif avec les précaires du pays de Lorient contre la convention anti chômeurs, à l’appel de la Cip 56.

Clermont-Ferrand, Nîmes, Saint-Etienne, Montpellier, etc

Rassemblements ce matin contre l’austérité, à l’appel de la CGT.

Lille

Préparatifs place de la République - venez nous rejoindre !

Nancy

Au rassemblement Place Dombasle.

Amiens

Strasbourg

18h Place Gutenberg - En réaction à l’agrément, le groupe du 21 mars - coordination Alsace des intermittents et précaires propose de nous retrouver tous ce soir, habillez-vous en noir et apportez une bougie. Diffusez l’info le plus possible. Merci.

Lyon

Le Conseil National des Barreaux appelle aujoud’hui à une journée de grève nationale pour défendre l’Aide Juridictionnelle. Celle-ci en l’état donne lieu à une justice à deux vitesses et cette situation va bientôt empirer. Ce qu’ils défendent, ils le défendent pour tous.

Partout les interluttants plient mais ne rompent pas.

Le fil des grèves

Festival de Marseille, Festival TJCC au Théâtre de Gennevilliers, Printemps des Comédiens, Montpellier Danse, Opéra de Bordeaux, Fêtes nocturnes au Château de Grignan, etc - équipes en grève, toutes les représentations sont annulées.


 

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 07:01

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24 juin 2014 à 15h, les agents de Pôle emploi Paris Laumière, en grève depuis 5 jours pour dénoncer le manque d'effectifs, ont été rejoints par des collectifs de chômeurs, précaires, agents de pôle emploi, intermittents et intérimaires. Devant le mutisme de leurs directions, ils ont décidé d'aller les rencontrer à la direction générale, au siège de Pôle emploi, rue du docteur Gley, Paris 20e. 

Après un accueil musclé des agents de sécurité, ils ont été bloqués au mépris des règles élémentaires de sécurité dans le hall d'accueil. Certains d'entre eux ont voulu profiter de l'ouverture d'un sas de sécurité et ont subi la violence physique d'un des vigile. Une personne est en état de choc. La police venu constater l'agression s'est vu refuser l'entrée du bâtiment pendant 20 minutes. 

Les occupants continuent d'exiger d'être reçus. Mais la direction refuse toute entrevue. Dix occupants ont pu pénétrer dans les étages et sont allés rencontrer les délégués syndicaux réunis en comité central d'établissement. Des échanges ont eu lieu sur les évolutions de l'organisation de Pôle emploi (sous-traitance, baisse d'effectifs, mise en concurrence des conseillers, privatisation) et sur le "pacte de responsabilité" et la nouvelle convention chômage. Parmi les délégués syndicaux n'ayant pas quittés le CCE, certains manifestent leur soutien envers les grévistes de Pôle emploi ainsi qu'envers les chômeurs, précaires, intermittents et intérimaires en lutte. 

Mouvement soutenu par: SNU Pole emploi ,FSU, Solidaires ,SUD emploi,CIP-idf

 

 

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 08:57

Versailles, le 19 juin 2014


Madame, Monsieur,


Les cheminots sont en grève dans tout le pays depuis 9 jours déjà, à l’appel national des fédérations CGT et Sud-Rail, auquel s’est joint FO, contre le passage en force au parlement d’un projet de loi portant réforme ferroviaire.


cheminot

 

Ce projet est absolument néfaste aux intérêts des cheminots et des usagers, car il porte en lui le démembrement de la Société Nationale des Chemins de fer Français et une harmonisation sociale par le bas de nos conditions de travail, le tout, dans le but avoué de favoriser l’ouverture généralisée du réseau à la concurrence.


Le relevé de décision, remis le jeudi 12 juin dernier par le secrétaire d’Etat aux transports, Monsieur Cuvillier, aux organisations syndicales CGT et UNSA et signé vendredi 13 juin par la CFDT et l’UNSA, n’est pas de nature à calmer les cheminots, car il ne s’agit que d’une réécriture à la marge du projet de loi initial.

 

I. Sur le volet structuration de la SNCF


Malgré les effets de manche du gouvernement, les effets d’annonce, ce projet de loi ne dispose pas d’une réunification de la « roue et du rail », de RFF et de la SNCF.


C’est en vérité un renforcement de la division actuelle, avec le transfert de plus de 50 000 agents de l’actuelle SNCF vers RFF, rebaptisée « SNCF Réseau ».


Les incohérences de l’organisation actuelle et ses fameux doublons n’en seront évidemment que renforcées.


Les incohérences de ces doublons ne seront pas gommées par la mise en place d’un « EPIC de tête », simple paravent d’unicité… au sein d’un groupe de 3 entreprises distinctes !

Les engagements du ministre, dans le « relevé de décision » ne sont pas de nature à nous satisfaire : bien qu’il soit envisagé de créer un CCE commun aux 3 EPIC (ce qui ne paraît même pas légal en l’état actuel du droit) et de renforcer les prérogatives de l’EPIC de tête, l’éclatement de la SNCF en 3 entreprises distinctes demeure !


Pour nous, une véritable réunification de RFF et de la SNCF s’impose pour en finir avec la désorganisation du réseau issu de la création de RFF : il faut réintégrer RFF au sein de l’EPIC SNCF !


II. Sur le « cadre social harmonisé »


Le projet de loi vise l’abrogation du régime spécifique de travail des cheminots (nos actuels RH 77 et 677), auxquels se substituerait une convention collective de branche négociée par les organisations syndicales et le patronat de l’UTP.


Le gouvernement ne pouvant donner aucune garantie sur le niveau de cette convention collective, un décret socle devrait être produit pour en fixer les cadres minimums, qui tout naturellement devrait être les règlements actuellement en vigueur en matière d’organisation du travail à la SNCF, soit les RH 77 et 677.


En l’état, les modalités de négociation visée par l’article 14 de ce projet ne permettent pas une négociation sur une base équitable et sereine.

 
En effet, la date butoir d’existence du décret 99-116 figurant dans cet article met sous contrainte les organisations syndicales des salariés dans le cadre de la négociation et, inversement, met les organisations patronales dans une posture favorable.

La convention collective ne peut se discuter sur la base d’un terrain vierge de toute règlementation comme le provoque cette date butoir, mais sur l’existant à savoir le décret 99-116 s’appliquant à 95% des salariés du ferroviaires qui seront sensés dépendre de cette convention collective.


Si le projet de loi se voulait respectueux et équitable concernant la négociation de la convention collective, la date figurant à l’article 14 devrait être retirée pour que la phase transitoire d’application du décret 99-116 courre jusqu’à la finalisation de la convention collective ferroviaire.


Pour nous, les cheminots ne doivent pas voir leurs conditions de travail revues à la baisse sous prétexte d’ouverture à la concurrence, le gouvernement doit prendre ses responsabilités en matière de règlementation du travail en matière ferroviaire, car cela est la condition d’une sécurité ferroviaire de haut niveau : Il faut produire un décret-socle reprenant nos RH 77 et 677 comme base minimum et permettre ainsi, sans date butoir, des négociations équitables entre syndicats et UTP pour bâtir une convention collective de haut niveau.


Mesdames et Messieurs les parlementaires,


Les discussions à l’Assemblée Nationale et au Sénat qui précèdent le vote de cette loi auraient dû permettre à l’ensemble du pays de s’emparer de ce débat qui est une grande cause populaire, concernant autant les cheminots que les usagers, le gouvernement n’en a pas voulu, préférant le passage en force.


Il vous revient la responsabilité de la destruction de l’entreprise historique et structurante, la SNCF, ou de faire le choix d’une véritable réunification du rail au sein de l’EPIC SNCF.

De même, il vous revient la responsabilité de raser l’ensemble de l’organisation du travail à la SNCF, sans aucune garantie sociale claire dans les négociations, avec une date butoir au-delà de laquelle quoi qu’il puisse arriver, elle sera abrogée, où de pérenniser l’organisation du travail actuelle de la SNCF, en l’étendant à tous les cheminots en la fixant par un décret socle comme un cadre minimal à toute négociation.


Nous continuerons à utiliser tous les moyens à notre disposition pour porter ce débat en pleine lumière et mettre vos discussions et votre vote sous la surveillance des cheminots mobilisés.


Veuillez recevoir, Mesdames et Messieurs les parlementaires, nos salutations.


L’Assemblée Générale des cheminots grévistes de Versailles

 


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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 08:11

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Madame la Ministre,


En complément du préavis de grève que nous vous avons adressé le 2 juin dernier concernant la journée du 26 juin, et dans le cadre exposé dans ledit préavis dont nous vous adressons une nouvelle copie, la Fédération CGT des Services publics dépose un préavis de grève de 0 à 24H pour les journées des 23, 24, 25 et 27 juin 2014, préavis couvrant l’ensemble des personnels de la Fonction publique territoriale.


Avec les personnels, la Fédération revendique :


- Le dégel immédiat de la valeur du point d’indice ; 

 
- Le rattrapage des pertes salariales ; 

 
- De meilleurs déroulements de carrière ; 

 
- La fin de la politique d’austérité et l’abondement des moyens pour le service public ; 

 
- La fin des suppressions d’emplois et des créations de postes partout où c’est nécessaire. 

 
- L’arrêt du projet de réforme territoriale et la consultation démocratique de la population à ce sujet 

 
- La réhabilitation du service public et de la Fonction publique comme outils garants de la satisfaction des besoins de la population dans l’intérêt général, de la justice sociale et territoriale, et du développement économique.


Enfin, par votre intermédiaire, la Fédération affirme auprès du gouvernement sa pleine et entière solidarité avec les luttes en cours des cheminots et des intermittents du spectacle. Ces mobilisations portent haut l’ambition de politiques publiques fortes en matière de culture et de transport ferroviaire. Le gouvernement doit sans délai ouvrir des négociations sur les points soulevés par les salariés en lutte.


Nous vous adressons, Madame la Ministre, nos respectueuses salutations.

Pour la Fédération CGT des Services Publics, 
Baptiste TALBOT, 
Secrétaire général

 

 

 

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 08:01

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/40/Il_quarto_stato_(Volpedo).jpg

 

 

Publié le 20 juin 2014 par FSC

 

 

TOUS ENSEMBLE…..

OUI, les revendications des cheminots sont celles de l’ensemble de la population (actif. Retraité, privé d’emploi) qui souffrent en France.

 

  • 1 jeune sur 4 est au chômage.

  • 87 % des emplois proposés aux jeunes sont précaires.

  • Les retraités (ées) subissent des ponctions de retraites jamais égalées.

Attaques tout azimut : la suppression de la ½ part, la fiscalisation des 10 % pour celles et ceux ayant élevé 3 enfants ou +, l’instauration de la taxe de 0.3 % et aussi comme pour tous les salaires la hausse de la TVA , le gel du barème des impôts… etc.….


  • la mise à sac de notre système de sécurité sociale, les attaques répétées contre l’hôpital publique, qui peu à peu se transforme en usine « avec production » et objectif de compétitivité à tenir… ect… ect….

  • les salaires gelés dans la fonction publique, et dans le privé.

  • La réforme territoriale qui va générer encore plus d’inégalités entre la population.

En 3 mots chacun (e) de nous est visé. Nous revenons à 20 années en arrière.


A cela s’ajoute le fameux pacte de responsabilité, qui lui aussi est un nouveau contrat antisocial : 30 milliards d’euros offerts au Médef par Hollande et sa clique, sans qu’aucune contrepartie ne soit exigée. Il est évident pour eux, qu’il vaut mieux privilégier les tauliers, les actionnaires, afin que les retraités (ées), les salariés (ées), les chômeurs (ses) se serrent de plus en plus la ceinture.


Aujourd’hui, les cheminots, les intermittents du spectacle, les Salariés de PSA, la SEITA, les hospitaliers, Les salariés de Toyota, de Lidl, les facteurs de Paris 15 ème, de Thalès Vélizy, de Solvay et combien d’autres encore, se battent pour un changement de politique économique, sociale, pour leurs emplois, pour une politique d’embauches dans le privé comme dans le public.

 

Il est urgent de dire haut et fort que les solutions proposées par ce gouvernement, et les grands patrons sont des pièges, de menaces, des trahisons pour les salariés, et les retraités..


Oui les cheminots, les intermittents du spectacle et tous les autres nous montrent la voie, celle de la lutte…


Nous n’avons pas le droit de rester isolé, il est impératif de participer, chacun (e) avec nos moyens afin de soutenir tous ces mouvements… car mobilisé dans l’unité nous avancerons.


La politique d’austérité aggrave le chômage et la précarité.


Si nous ne nous battons pas pour nous, faisons le au moins pour nos jeunes, qui eux ont le droit à un avenir meilleur.


Soutenons donc tous ces cheminots qui se battent contre le système de liquidation des services publiques, ils refusent l’aggravation dans la réglementation du travail, ils disent non aux suppressions d’emplois, ils exigent des embauches dans tous les secteurs, sous un même statut et aux conditions les plus  avantageuses pour tous et toutes, , et se battent pour que l’ensemble du réseau ferroviaire soit remis en état afin d’éviter des accidents mortels.


Chacun (e) de nous a eu en main ce fameux projet ferroviaire.


NE NOUS Y TROMPONS PAS L’ARGENT EXISTE…


Le problème c’est la répartition….


BRAVO A EUX, ils se défendent bec et ongle…


Aujourd’hui en Auvergne, le mouvement continue…


A nous, TOUS ENSEMBLE, de faire en sorte que le social, redevienne une de priorité de ce gouvernement. et cela passe par la LUTTE et LA RUE….


Les réunions de salon, ne sont des miroirs aux alouettes.

 

Danielle Gautier


 

http://img.over-blog.com/200x149/0/32/46/53/Syndicats-logos/fsc.jpg

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 22:43

Vendredi 20 juin 2014

 

M. Valls veut enfumer les chômeurs, précaires, intermittents, intérimaires et tous les salariés…


M. Valls refuse d’entendre ce que les intermittents, intérimaires, chômeurs et précaires en lutte clament depuis le 22 Mars. M. Valls ne veut pas comprendre que c’est l’ensemble de l’accord Unedic signé le 22 mars qui est inacceptable. M. Valls prétend sauver les intermittents du spectacle en annonçant qu’il leur sera distribué un vague sédatif social et il se moque que 6 chômeurs sur 10 ne soient pas indemnisés. C’est bien l’ensemble des chômeurs et précaires qu’il méprise.

M. Valls a décidé d’agréer coûte que coûte l’accord du 22 mars sur l’assurance chômage pour appliquer un « pacte de responsabilité » conclu avec avec le Medef, la CFDT et la CFTC. Ce « pacte » - pierre angulaire de la politique du gouvernement - prévoit de réaliser deux milliards d’économie sur les droits des chômeurs.


Ces annonces ne règlent rien. Par exemple, cet agrément aggravera l’insécurité sociale imposée aux intérimaires qui perdront plusieurs centaines d’euros par mois.


Ces annonces ne règlent pas non plus la situation des intermittents du spectacle. On maintient le principe de capitalisation des droits du « protocole de 2003 » dont de très nombreux intermittents ont éprouvé la nocivité depuis 11 ans. On dit vouloir pondérer les effets du différé d’indemnisation sans garantir en rien la pérennité de ce pansement et, qui plus est, en le réservant aux seuls intermittents du spectacle. Ne reculant devant rien, on annonce comme un cadeau (merci patron !) le maintien des budgets du spectacle vivant alors que celui de « la culture » [1] diminue .


Excédés par ces manœuvres dilatoires, nous sommes plus que jamais en lutte.


Nous appelons les chômeurs, précaires, intermittents, intérimaires et tous les salariés à rejoindre les collectifs et coordinations existants et à en créer de nouveaux [2]. Une coordination nationale aura lieu les 2 et 3 juillet prochain à Avignon.


Dès maintenant et partout, agissons afin d’empêcher que cette convention soit adoptée et appliquée.

Pour Paris rendez-vous demain à 14h00 à la halle de la Villette



 

Notes :

[1Culture : un concept réactionnaire ? Felix Guattari et Suely Rolnik

[2A Matignon, Sciences Po, en manif’, dans les Direccte, les Pôle, les DRAC, une cathédrale, la rue, les plateaux : c’est partout que leur projet de convention anti-chômeurs doit leur coûter cher !

 

 

http://www.cip-idf.org/IMG/logo.gif

 

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Ce vendredi matin, les intermittents du spectacle ont perturbé la visite brestoise de Pierre Gattaz, le patron du Medef, dès sa sortie de l'aéroport de Brest-Guipavas. Le reportage de Xavier Patrigeon de Tébéo. Plus d'infos sur 

http://www.letelegramme.fr/finistere/guipavas/guipavas-le-patron-du-medef-bloque-par-les-intermittents-20-06-2014-10221814.php

 

 


 

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19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 13:32

Un appel qui en vaut un autre, car la guerre d'aujourd'hui a sa propre violence,
ses propres armes et elle suscite des injustices et des souffrances sans nombre.

 
Etre affligé ne suffit pas; il faut se révolter.


Raoul Marc Jennar 


Appel du 18 juin 2014


Ici Lille, à la Direction Régionale des Affaires Culturelles occupée par les salarié-e-s du spectacles, du cinéma, de l’audiovisuel et rejoint par les cheminot-e-s Solidaires,

Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête de la république française, se sont soumis aux pouvoirs économiques et financiers.


Le gouvernement actuel, alléguant la défaite de nos services publics, s’est mis sous la coupe du MEDEF pour cesser le combat.


Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force néolibérale de l’ennemi.

Infiniment plus que leur nombre, ce sont leurs discours, leurs mensonges, leurs manipulations qui nous font reculer. Ce sont les classes dominantes qui avec l’aide des médias de masse, endoctrinent les cerveaux, poussent au chacun pour soi, élaborent des stratégies de diversion.


Mais le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !


 Croyez-nous, nous qui vous parlons en connaissance de cause, nous vous disons que rien n’est perdu pour les plus exploité-e-s d’entre nous. Les moyens de lutte sont nombreux et peuvent faire venir la victoire.


Car nous ne sommes pas seuls ! Vous, salarié-e-s du public et du privé, de l’énergie, des transports, des télécom’, du bâtiment, de la santé, de l’éducation, du social,… avec ou sans papiers, vous n’êtes pas seul-e-s. Le combat est permanent. Nos possibles sont sans limites. Nos armes infinies.


Cette guerre n’est pas limitée aux accords UNEDIC du 22 mars. Cette guerre n’est pas tranchée par la bataille en cours. Cette guerre est une guerre mondialisée. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n’empêchent pas qu’il y ait, dans l’univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd’hui par la domination économique et politique, nous pourrons vaincre dans l’avenir par nos forces communes et rassemblées.


Nous, salarié-e-s du spectacle, du cinéma et de l’audiovisuel, actuellement à Lille, invitons les citoyens, les publics, les salarié-e-s en lutte, les chercheurs, les cheminot-e-s…. avec les armes de la pensée et de la lutte sociale, à se mettre en rapport avec nous.


Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas.

 

Nicolas GRARD, interluttant

 

http://www.jennar.fr/?p=3775

 

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18/06/14 Intermittents  à Marseille...

 

 

 

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19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 09:34

19 Juin 2014 , Rédigé par Le Mantois et Partout ailleurs

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/61/83/70/20140619/ob_f88463_ob-0acaab-14-06-18-siege-du-ps-3.jpg

 

Voilà t'y pas que ces salopards de nantis de cheminots qui font grève tout en étant payés(oui mesdames et messieurs c'est l'absolue vérité), bref ces bandits qui prennent en otage la France entière, ont eu l'idée (saugrenue en vérité je vous l'ai di, dixit Manu Militari Valls)) d'aller tambouriner à la porte de l'Hôtel particulier parisien abritant le siège national du Ps, rue Solférino.

 

Le police montée à pied les y attendait. Ah ça mais, on est avec les travailleurs en lutte défendant un service public pour le bien de la nation, ou on se barricade de l'autre côté.


Oui, le Parti socialiste et ses aficionados ont choisi leur camp. Ce n'est pas le mien.


http://static.lexpress.fr/medias/144/1-mitterrand-deces-commemoration_352.jpg

Portrait de François 1 en 2006

 

Pour entrer dans le siège, il fallait sans doute passer à plat ventre: peut-être une habitude en ce qui concerne le positionnement politique face aux puissances de l'argent. Non?


Roger Colombier

 


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